Beaucoup de tes posts me touchent (tu sais trouver les most justes pour exprimer ce que beaucoup ressentent, c’est un vrai talent !) mais celui-ci tres particulierement parce que mon ressenti, inconscient a l’epoque, etait exactement le meme que le tien. Ma solution, ma survie : partir, m’expatrier dans un endroit plus tolerant, loin des yeux/de la pression de la famille (avec qui je peux enfin consacrer du temps de qualite lorsque je les retrouve), ou l’on est d’abord un individu, ou les opportunites sont celles que l’on se cree soi-meme et ou l’humeur ambiante tirent les gens vers les haut plutot que vers le bas. Il y en a qui diront que c’est une fuite (ceux-la meme qui acceptent la loi du groupe et qui ont abandonne leurs reves ?) mais je dirais que c’est une chance que je me suis donnee et que j’ai donne a mes enfants. Ce n’est pas forcement LA solution mais ce fut MA solution. Excellente continuation (desolee pour les accents… impossible de les trouver sur ce clavier !)
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